Interactivité

LES CHOUCHOUX

Terry, par Sandrine

Terrence G. Grandchester. Le nom à lui seul éveille l’intérêt et la curiosité, et déjà le mystère par l’emploi de ce « G » dont ne connaît pas d’emblée la signification. Mais il n’y a pas que cela… La rencontre entre Candy et Terry plante déjà un décor et des circonstances romantiques : un paquebot, une nuit, des tenues de soirées, la méprise avec Anthony, et puis les larmes versée par le jeune homme. Terry c’est le mauvais garçon au cœur tendre par excellence. Il se moque ouvertement de Candy au début. Il lui donne du « Mademoiselle tâches de sons » par là, du « Mademoiselle Tarzan » par ici, mais n’hésite pas une minute à lui venir en aide devant les fourberies de la bande d’Eliza, tel un chevalier servant (ce que c’est beau ^^)

Ce que j’aime chez ce garçon c’est son mystère mélancolique. Les sourires ne viennent que trop rarement éclairer son visage, ce qui ne donne que plus de valeur lorsqu’on le découvre éclater de rires, au zoo, avec Albert. Ses rires et sourires n’en sont que plus précieux . Lorsque Candy et Terry vont nouer une amitié (amoureuse ?) on se prend à rêver d’incarner cette héroïne qui fait front aux attaques du garçon. Elle ne se laisse pas démonter face à ses moqueries continuelles. C’est un peu ce qui forcera l’admiration de Terry pour Candy… et la mienne pour Terry. Terry c’est le gentleman « bad boy » dans tout ce qu’il revêt de plus attractif et de plus charismatique. C’est l’incarnation du bien et du mal. Le fait qu’il soit beau et sexy ne gâche rien. C’est même un de ses atouts majeurs. Tous les gestes les plus anodins deviennent chez lui des gestes gracieux et félins. Si Terry avait réellement existé au 21ème siècle, il serait l’équivalent d’un Brad Pitt, ou autre Léonardo DiCaprio. Ses posters orneraient la chambre de jeunes filles en quête d’idoles. Ceci est bien court pour expliquer que Terry a nourrit en moi, lorsque j’étais petite fille, de doux sentiments, et rien que d’en parler je sens la petite fille qui se réveille.