Interactivité

LES CHOUCHOUX

Anthony - le chouchou d'Hélène

Avant tout j’aime Anthony pour sa douceur, sa gentillesse. J’aime toute l’affection, toute la tendresse dont il sait toujours entourer ceux qu’il aime. Anthony aime tant Candy, son amour pour elle est merveilleux, éternel, doux, tendre, aimant et tout à la fois passionné et n’a d’égal que l’affection immense qu’il lui porte. On se souvient comment, lors du bal chez les André, il porte dans ses bras l’enfant qu’est encore Candy , il la fait tourner légèrement en marchant pour lui faire oublier sa peur, il la rassure…On se rappelle encore le jour où ils ramènent Cléopâtre : « Je t’aime comme tu es »…

Anthony fera tout son possible pour protéger Candy, pour l’aider. On sait que c’est grâce à lui et à ses cousins que celle-ci sera finalement adoptée, ceci après l’échec de leur première tentative pour lui permettre  de vivre chez eux…On se souvient de la tristesse d’Anthony après cet échec, d’autant plus que la bataille  était gagnée lorsqu’Elisa…

On le revoit aussi  arrivant au galop sur son cheval blanc pour rétablir la vérité et empêcher le départ forcé de Candy pour le Mexique…Trop tard hélas…Et on revoit ses larmes lors de l’aubade d’adieu qu’il a lui même proposée… « Candy…je me débrouillerai pour aller au Mexique Candy…Je te jure que nous nous reverrons »…Ceci alors que tous trois continuent à  apporter à Candy le seul réconfort  qu’ils puissent alors lui donner.

La confiance d’Anthony en Candy  est absolue, inconditionnelle, magnifique, magnifique aussi sa promptitude à la défendre, tout ce qu’il ressent pour elle,  enfin toute son attitude… « Je prouverai que Candy n’a jamais rien volé ! je découvrirai la vérité et celui qui a machiné tout ça le paiera cher ! »…

Anthony a un sens profond de la justice , il ne peut comprendre qu’on fasse le mal impunément… « A genoux ! » dira t-il à Daniel. « Il doit être puni ! »…On le comprend même si justement comme lui on est frappé par la gentillesse de Candy  qui pardonne toujours, par sa bonté… « Tu es vraiment une fille fantastique Candy tu as un cœur d’or ! »

Anthony sait réconforter Candy dès la première fois qu’il la rencontre. Elle est là, en larmes, effondrée, à terre et soudain  « la grille où fleurissent les roses » elle entend cette voix rassurante, douce, confiante en la vie : « Je t’en prie ne pleure pas petite fille. Tu es beaucoup plus jolie quand tu ris que lorsque tu pleures. »Et elle voit alors en lui son prince, le prince de la colline…Qu’Anthony ne soit pas le prince de la colline ainsi que Candy le saura plus tard n’a aucune importance, c’est à lui qu’elle s'est attachée si fort, c’est lui qu’elle aime c’est Anthony et pour lui, pour ce qu’il est : « C’est pas à cause du prince. Je t’aime pour toi »…On a en mémoire le désarroi, la tristesse d’Anthony juste avant qu’elle n’ait dit cela… « Tu m’aimes peut-être par ce que je lui ressemble… »Ce qu’il éprouve alors c’est toute la détresse d’une jalousie qu’il ne peut empêcher, mais d’une jalousie bien sûr non négative ou mauvaise – il en est incapable-mais simplement qui le détruit lui  même, pas l’autre, qui lui fait du mal, qui le prend et l’étreint…Malgré lui son cœur se serre , il est si malheureux, et se veut résigné tout à la fois…On se rappelle le bonheur intense qui s’en suit alors pour lui, c’est…magnifique c’est…Il est si heureux…Et Candy court, gaie, sereine, heureuse… « Mon cœur bat si fort…J’en ai le vertige Anthony !…Anthony…Oh j’aime Anthony !…Je l’aime plus que n’importe qui au monde… » Cette pensée cette certitude ce bonheur emplit  tout son être c’est merveilleux… « (…) Oui…Le prince charmant dont j’ai toujours rêvé, c’est toi…oh oui …c’est toi que j’attendais depuis toujours »-lui dira t-elle plus tard…

Anthony fera tout pour elle elle est tout pour lui, toute sa vie…IL la comprends si bien…Quel n’est pas son désarroi, sa tristesse, sa compassion sa volonté surtout de changer tout cela lorsqu’il découvre la vérité sur sa vie chez les Legrand… « Je viens m’excuser pour hier » « Je t’ai fait porter des choses trop lourdes pour toi. Je n’avais pas compris que tu travaillais très dur toute la journée alors pardonne moi .Tiens. C’est une rose que j’ai fait pousser moi-même et pour ton prochain anniversaire je t’en offrirai une autre encore plus belle » Cette scène à l’écurie, Anthony lui parlant de sa voix toujours si apaisante, la rose qu’il apporte…C’est une scène magnifique, comme toutes celles les réunissant… « La prochaine fois où nous nous verrons ce sera ton anniversaire »…

On connaît l’attachement d’Anthony pour les roses, pour sa roseraie, ses espèces qu’il crée lui-même et qu’il fait vivre… « Tendre Candy », la jolie et douce rose blanche qu’il a créée pour elle… « Je t’offre ces roses qui portent ton nom Candy et la date d’aujourd’hui sera à l’avenir celle de ton anniversaire »… « Tu sais Anthony devient enragé quand on s’attaque à ses roses » (Alistair). En fait dans l’épisode concerné on retrouve d’abord son grand sens de la justice – « Je sais que ce n’est pas vous mais celui qui a été si cruel avec mes roses le paiera » - les roses vivent elles sont faibles et fragiles, innocentes il se doit de les protéger il veut le faire…Et tout de suite on retrouve surtout toute sa sensibilité, toute sa fragilité à lui justement… «  Est ce que ce serait Candy qui… »…Sa tristesse est immense il ne peut le croire et ne le croira pas c’est juste le vacillement, l’ hésitation légère d’un instant…l’attaque est si soudaine et semble si sûre…Mais c’est une idée qu’il va repousser tout aussi vite il aime Candy  et la confiance absolue qu’il a en elle prévaudra aussitôt…L’instant de détresse provoqué en lui par Elisa nous le rend d’autant plus humain et aimant à la fois…si confiant que justement elle ne dure qu’un instant…Suite au malentendu des plus involontaires qui s’en suivra on verra toute sa détresse, toute son inquiétude lorsque Archi, Ali et lui rechercheront Candy…Là aussi on revoit cette scène clé : Anthony les poings serrés, se maîtrisant de la gifler… « Est ce que tu te rends comptes le souci que tu m’as fait faire Candy ! » …Et surtout bien sûr son bonheur à la revoir vivante, saine et sauve là devant lui…Toutes ses émotions, tous ses sentiments transparaissent alors…Avec Anthony c’est toujours le cas il ne pourrait ni ne saurait rien cacher il est tout à la fois bien trop sensible, doux et sincère, franc aussi, droit pour cela…Dans tout ce qu’Anthony ressent pour les roses il n’y a rien que de positif , aucun élément négatif ne vient ternir ce magnifique tableau ainsi que Candy l’a compris : «  Anthony comprendra. J’en suis sûre »… « Ca n’a aucune importance. Toutes celles du jardin sont à toi à présent » (Anthony) . Elle savait qu’il l’approuverait, qu’il aurait lui aussi agi ainsi s’il en avait eu l’occasion…Et on ressent une telle émotion aussi le jour où, avec Candy, on apprend d’Anthony d’où lui vient cet intérêt, cet amour immense pour les roses. «  (…) Vois tu  Candy il n’y a qu’ici que je me sente vraiment chez moi…C’est ma mère  qui a fait cette roseraie »  «  Ma mère avait une véritable adoration pour les roses »…C’est aussi et surtout toute la solitude profonde d’Anthony qui transparaît ici dans ce propos où il se livre totalement, comme il le fait toujours avec Candy , et seulement avec elle…Elle est celle qu’il aime et aimera toujours, elle est aussi pour lui le souvenir vivant de sa mère qu’il chérissait et chérit tant…Sa mère si douce, si belle, si fragile, si merveilleuse, réconfortante aussi…Elle vit pour toujours dans ses souvenirs, dans sa roseraie, dans son amour pour les chevaux et le saut aussi, dans ses rêves…En lui…Et il l’adore…Il y a le bal où il prête ses bijoux à Candy…Elle aussi il sait qu’elle aurait compris Candy, qu’elle l’aurait aimé…Anthony souffre aussi, terriblement, de l’incompréhension dont Candy est victime, et particulièrement de la part de la grande tante… «  Si maman était encore là elle elle te comprendrait… »… « Maman n’était pas comme les autres je suis sûr que…tu lui aurais beaucoup plu ».

Je reviens sur cette solitude ressentie justement et qui les rapproche aussi, encore davantage. Anthony est orphelin lui aussi, il est seul comme Candy  et il se heurte souvent à l’incompréhension d’autrui (de la grande tante, des villageois…) de part ses idées d’égalité, de justice, de fidélité en amitié,  son sens de l’indépendance aussi…Et puis surtout chacun est seul au plus profond de sa conscience, de son être et de sa vie et cela dans sa lucidité naturelle il l’a tout à fait réalisé…Mais il n’est pas résigné, il sait qu’il peut changer tout cela s’il le veut il suffit de le vouloir il sait qu’avec Candy il peut tout partager ils ne seront jamais seuls, jamais : «  Nous ne nous laisserons jamais abattre par la solitude »  C’est ce qu’il pense lors de leur magnifique, inoubliable promenade à cheval…Ils sont alors comme hors du temps, de l’espace même…Leur pensée se transmet de l’un à l’autre… «  Anthony…Le vent chante dans mes oreilles …et je peux entendre ta voix dans la chanson du vent… » « Candy ! Je t’aime !  Je t’aime !… » « Moi aussi je t’aime Anthony …et je voudrais que le vent nous emporte très loin d’ici… »…C’est le bonheur, voire l’extase, l’émerveillement…Sereins , ils sont en parfaite harmonie avec le temps, l’espace, avec eux-mêmes…plus rien d’autre n’existe que l’être aimé et leur escapade, promenade qu’ils veulent sans fin ni limites, éternelle…

Anthony croit en la vie, il croit en l’homme et en ses possibilités. Il est tout à fait à l’opposé du déterminisme résigné, battu d’avance « Mon amitié avec Tom m’a appris une chose : c’est qu’il n’y a rien au monde d’impossible (…) Surtout Candy, ne sois pas triste dis toi qu’il est simple d’échapper à ce que tu n’aimes pas, il suffit de le vouloir. Je ferai de mon mieux pour améliorer les principes et les coutumes de ma famille, faisons de notre mieux tous les deux pour la sauvegarde de notre bonheur »…A travers ce message il redonne courage et confiance à Candy… « (…) Tu sais Candy nous seuls sommes responsables de ce qui nous arrive et ce n’est pas une carte qui va faire mon bonheur » Là aussi on retrouve Anthony…Tout à la fois courageux, confiant, décidé… « Je vous assure que je n’ai pas peur »…Et là aussi il rassurera, apaisera Candy de son mieux : « (…) Je ne suis plus un petit garçon tu sais …Et même s’il m’arrivait quelque chose je suis assez grand et assez fort pour m’en tirer »…On voudrait tant que cela se soit passé ainsi….Et le dérivatif, la solution immédiate qu’elle propose- « On va grimper quelque part !… »-il l’aime autant qu’elle, tout autant qu’elle il trouve formidable, merveilleux de grimper ainsi, grimper, grimper jusqu ‘à ce que seule l’impossibilité de continuer, d’aller plus haut, plus loin les arrête…Oublier tout, passer ainsi un moment de bonheur absolu, hors de tout…C’est comme leur folle escapade  à la fête foraine, leur course éfreinée  de tout à l’heure pour échapper aux chaînes qui  les lient à une certaine société, à un certain mode de vie qu’on veut leur imposer et dont ils rejettent certains aspects, c’est comme leur galop à cheval dont je  parlais…S’échapper…Vivre enfin…échapper aux contraintes stupides et qui n’auraient pas lieu d’être , échapper à tout ce qui peut leur advenir les atteindre de mal dans leur vie, à leur inquiétude à leur angoisse du moment aussi et surtout…Ils y ont tous deux réussi alors lors de cette montée inoubliable, de ces instants où ils entendent la cloche sonner…Tous ces sentiments, toutes ces émotions, toutes ces idées Candy et Anthony les partagent…Et par dessus tout bien sûr l’affection et l’amour  si intense si pur si vrai qu’ils se portent… « (…)Nous en garderons chacun une en souvenir de cette journée » (Anthony) Et il n’y a pas de regret à avoir cette journée était si merveilleuse c’est tout ce qui compte…

Anthony est un garçon courageux et qui a toujours le courage de ses opinions. Comme Candy là aussi – Et s’il n’en est pas moins capable de mentir c’est seulement pour Candy il l’aime tant : « Justement, Ca ne peut plus durer. Il faut que ça change. Elle n’a pas à te parler sur ce ton »… « D’ailleurs personne ne te comprend ici, ils se méprennent tous sur toi . »…Il y a cette scène si émouvante, passionnée, scène de révolte où il dit non, où il défend Candy face à la grand-tante et à l’injustice, au mensonge, à la méchanceté dont elle se fait sans savoir le porte-parole : «  Non cela n’est pas possible la vérité doit éclater il doit faire quelque chose, la provoquer…Les poings serrés il affronte celle qui tient lieu de chef de la famille, et au delà d’elle tous les médisants, les injustes, les méchants, tous ceux qui s’attaquent à Candy…Sa révolte ira aussi bientôt à l’encontre de la vie à laquelle on veut le contraindre, elle ira plus loin encore elle sera plus générale – l’autorité, la supériorité, l’infériorité, la hiérarchie, tous les «  principes stupides de la famille André » il ne les comprendra jamais et il veut les abolir. Il veut vivre comme tout le monde, vivre tout simplement, ne pas être un pantin qu’on manipule on décide pour lui «  les principes » «  l’honneur de la famille »…Il veut pouvoir être lui même , un être comme les autres, et être heureux tout simplement….et par dessus tout l’autorité abusive de la grand-tante non ! « J’en ai assez ! Je vais quitter cette maison et je vivrai comme je l’entends ! Et non comme le veut la grand-tante ! »… « A partir de maintenant je suis Anthony Personne un garçon comme tous les autres ! » La rose qu’il tient se retrouve à terre il la lâche, la laisse tomber dans un geste qui transparaît à peine…il ne s’en occupe plus c’est tout il la laisse là …et avec elle c’est toute sa vie qu’il veut laisser…Il est tout à la fois désabusé, fini…il n’y croit plus…et en même temps révolté, prêt à tourner la page et à faire face, cette vie qu’on lui impose ces ordres ces principes stupides c’est fini il ne veut plus les subir il ne les subira plus…C’est Candy qui ramasse la rose pour lui, qui la lui tend et qui sait lui rendre tous ses rêves, toute sa vie…Il n’aura pas à briser ainsi avec son passé, avec ce qu’il aime tout de même malgré sa révolte si justifiée et si juste il fera le rodéo, il remportera pacifiquement et sans heurt véritable la victoire sur la grand-tante et sur l’esprit de clan, sur tout…

Anthony malgré tout aime beaucoup la grand-tante il est le premier à souligner qu’elle n’est pas méchante, vérité dont il s’est parfaitement rendu compte et qu’il ressent tout à fait-« (…) Tu sais…Tu as dû lui faire beaucoup de peine…Je sais bien qu’elle a été très dure avec toi…mais je suis sûr que c’est parce qu’elle ne te connaissait pas…(…) » - mais ce n’est pas pour autant qu’il acceptera jamais les absurdités aussi injustes qu’inacceptables , sélectives qu’elle veut lui imposer. « Nos amis ne sont pas de simples objets ! On ne peut pas les rejeter ou les changer ! » …  « Je vous dis ce que je pense être juste grand-tante ! » Il est heureux de son  amitié avec Tom, de tout ce qui les lie(ra) désormais. Grâce à tom il a découvert de nouvelles choses, une autre vie aussi, et surtout il s’est une nouvelle fois redécouvert lui même, un nouvel aspect de sa personnalité, de ce qu’il aimait, de ce qu’il voulait, de ce à quoi il aspirait lui est apparu… « C’était la première fois que je me battais avec quelqu’un…Et c’était un rude adversaire…Nous  nous sommes battus loyalement. Nous avons fait match nul mais nous sommes devenus amis »…  « (…) Mais je me suis rendu compte dernièrement que j’aspirais à autre chose, je veux travailler, et gagner ma vie, comme Tom. C’est ça que je veux !… » Par la suite il découvrira encore avec la vie en forêt qu’il mènera, son ami Tom à ses côtés : Là aussi il apprendra beaucoup et il aimera « (…) Je commence à très bien m’acclimater à la vie en forêt, je dois même t’avouer que j’y trouve parfois un grand plaisir (…) » Sur tous les plans son amitié avec Tom lui apportera beaucoup.

Pour ce qui est de l’amitié, de l’attachement il y a aussi bien sûr tout ce qui le lie à ses cousins, toute l’affection qu’il a pour eux et eux pour lui…ils sont si unis tous trois c’est le trio Archi, Ali, Anthony…C’est ensemble qu’ils rient et s’amusent gentiment et ils veulent faire participer Candy – cf par exemple l’histoire qu’ils lui racontent sur le fantôme ( ils ne pouvaient prévoir c’était gentil et innocent)…C’est ensemble aussi qu’ils protègent Candy de toutes les manigances d’Elisa et de Niel qu’ils détestent…(Si Anthony compatit et reste avec Elisa le soir où elle lui joue cette horrible comédie c’est seulement justement, comme Archi et Ali l’ont si bien compris eux-aussi, parce qu’elle profite de sa trop grande gentillesse pour l’amener à se sentir coupable – on sait avec eux la méchanceté, la fausseté d’Elisa, de quoi elle est capable pour le forcer à se sentir obligé de rester c’est révoltant…)…C’est ensemble qu’ils défendent Candy, qu’ils iront à sa recherche, aux chutes, à Yellow  Rock…Anthony, tout à la fois enjoué mais aussi doux et calme, sait apaiser les quelques rares ébauches  de discussion qui pourraient subvenir entre les deux frères qui s’aiment tant mais sont si différents…C’est le cas pour la robe de bal de Candy par exemple…

Mais si Anthony est en général d’un naturel paisible c’est lui aussi qui le premier est capable de «  se réveiller » comme il le dit lui-même – « Nous nous sommes réveillés voilà tout » - dans sa révolte …Et en fait cela n’est pas contradictoire c’est tout à fait  Anthony, ne recherchant que la paix et le bonheur dans l’amitié, l’amour, la  fraternité, l’égalité…n’admettant pas l’injustice, et déterminé…De toutes façons jamais il ne baissera les bras…  « N’oublie pas que je pense à toi et que jamais je ne t’abandonnerai… »

Anthony est le premier personnage de dessin animé auquel je me sois autant attachée et cela est toujours aussi vrai, J’aime tellement Anthony tellement….Il est mon personnage préféré toutes fictions confondues (DA  ou autres )…Anthony n’appartient hélas dans la VO qu’à la première série de Candy celle qui m’a  si souvent fait  rêver, que j’ai le plus aimée…- j’entends bien sûr jusqu’à cette tragédie inadmissible et que je n’accepterai jamais .J‘ai voulu modifier cela en écrivant ma version de la suite et fin de Candy Candy  et , comme je le disais,  je suis heureuse de l’avoir fait, d’une part parce que j’ai aimé écrire cette histoire  (je ne la continuais que de temps à autre, quand j’avais de l’inspiration pour etc…), et d’autre part surtout parce que comme cela Candy continue et finit comme je l’aurais souhaité…

Hélène