Si seulement…
Par Mallory Quinn

 

 


* Image issue du site http://candyworld.free.fr


Et si Candy n’avait pas manqué Terry à Southampton….

 

Chapitre 5

« Je suis désolée Messieurs, vous faites erreur… »

 

Le reste du séjour à Londres se passa sans encombre, les deux couples étant devenus des bons amis. Laurent invita Candy et Terry chez lui pour un Barbecue, le samedi avant leur départ. Ils devaient prendre le bateau, le lundi, à l’aube. Après le barbecue, ils décidèrent d’aller au zoo. Comme c’était samedi, il y avait beaucoup de monde. Candy pensait aller voir la tortue de Patty. Il y avait aussi beaucoup de policiers qui circulaient. Candy et Georgie portaient la même robe rose par coïncidence.

C’est pas possible, dit Terry, vous l’avez fait exprès !

Non, je t’assure dit, Candy.

C’est tout à fait par hasard, renchérit Georgie.

Il y avait un homme vêtu de noir qui les observait de loin. Il avait une photo de Candy et essayait de se rapprocher pour vérifier si c’était bien elle. Terry qui tournait le dos aux filles, l’avait repéré en douce.

Candy, dit-il doucement, il faut qu’on s’en aille d’ici, je vois quelqu'un nous observe on dirait qu’il a une photo en main.

Oh mon Dieu ! Dit Candy horrifié, tu crois qu’il me cherche ?

Je ne sais pas mais il ne faudrait pas prendre ce risque. Allons-y.

Attendez ! Dit Georgie, si vous partez, il vous suivra et on saura ou vous êtes cachés. Je vais les divertir…

Comment ? Demande Laurent un peu inquiet…

Candy et moi nous nous ressemblons, non ? Les policiers ne nous connaissent pas, ils ne feront pas la différence.

Mais s’ils te ramènent au college de St. Paul ? Dit Candy

Les sœurs verront que je ne suis pas toi et me laisseront partir.

Mais… dit Candy

Allez-y dit Georgie, il faut faire vite. Laurent, viens m’attendre près du collège, ok ?

Merci, à tout à l’heure.

Candy, Terry et Laurent s’éloignèrent.

Georgie se retourna et fit face au policier qui avançait et elle fit semblant de vouloir s’enfuir en le voyant.

Mlle André ? Dit le policier en lui prenant les bras, vous venez avec nous !…

Quoi ? Non ! dit Georgie… vous vous trompez, je ne suis pas Mlle André…

C’est ça jouez la comédie ! Vous allez venir avec nous…

Mais… dit Georgie.

Quatre autres policiers vinrent lui donner un coup de main. Ils amenèrent Georgie au collège St Paul sans tenir compte de ses protestations. La nouvelle de capture de « Candy » se propagea comme une traînée de poudre. Eliza et Daniel étaient contents. Les amies de Candy étaient mi-figue mi-raisin ; ils étaient tristes qu’elle ait été capturée, mais content d’avoir de retour de la « fille prodigue. »

Georgie était dans le couloir avec les policiers elle avait la tête baissée, quand la mère supérieure et la Sœur Margaret arrivèrent. Deux policiers étaient devant la jeune fille blonde, et s’écartèrent à la vue des sœurs.

Alors, Mlle André, vous voilà de retour, dit la Mère Supérieure. Vous serez à nouveau puni rien que pour le dérangement que votre disparition a causée…

Candy ? Dit la sœur Margaret… Levez la tête quand on vous parle.

Ouais fille d’écurie montre ta face de pauvre ! dit Eliza d’un ton méchant, fini la belle vie, les danses avec le prince.

Tais-toi Eliza ! Cria Annie.

On en a assez de tes injures, dit Patty.

SILENCE ! Dit la Mère Supérieure, Mlle André veuillez lever votre tête s’il vous plaît !

Georgie leva finalement la tête et tout le monde poussa un cri. La jeune fille, avait de longs cheveux bouclés, des yeux verts et ressemblait beaucoup à Candy, mais ce n’était pas Elle.

Mais.. dit la Mère Supérieure.

Elle lui ressemble, mais… commença Sœur Margaret.

CE N’EST PAS ELLE ! Cria Eliza en s’adressant aux policiers, qu’avez-vous fait ? CE N’EST PAS ELLE !

Mais… dit le policier, elle répond à la description et elle ressemble à la photo.

Vous avez fait une erreur messieurs, dit la mère supérieure veuillez relâcher cette pauvre jeune fille immédiatement !

Oui ma mère, dit le policier.

Eliza était rouge de rage, Candy était toujours libre avec Terry !

Annie, Patty, Alistair et Archibald poussèrent un soupir de soulagement.

Suivons-la dit Annie peut-être elle peut nous dire quelque chose…

Quoi ? Demanda Patty.

Je ne sais pas, mais suivons-la

Elles suivirent les policiers et Georgie, Alistair et Archie firent de même.

Bonjour, dit Annie à Georgie, je m’appelle Annie je suis une amie de Candy. Tu lui ressemble beaucoup.

Moi, c’est Patty et voici Archie et Alistair.

Bonjour, je m’appelle Georgie.

Tu as l’accent australien dit Alistair, tu viens d’Australie ?

Oui, je suis de passage, je vais en Amérique à la recherche de ma mère. J’ai été adoptée…

Une fois en dehors de la grille, les policiers s’éloignèrent.

Toutes nos excuses Mlle, dit un des policiers. J’espère que nous avons pas contrariée. Encore une fois, toutes nos excuses. Au revoir. Vous voulez qu’on vous amène quelque part ?

Non merci, dit Georgie. Je vais me débrouiller.

Dès que les policiers s’éloignèrent dans leurs voitures, Georgie se tourna vers les amis de Candy.

J’attendais que les policiers s’en aillent. Candy va bien, vous lui manquez beaucoup.

Tu connais Candy ? Demanda Annie.

Oui, Terry aussi. Je leur ai servi de diversion pour les policiers.

Tu veux dire que tu t’es laissée capturer à sa place ? Demanda Patty.

Pour lui permette de s’enfuir… dit Alistair. Comme vous vous ressemblez, les policiers n’y ont vu que du feu !

Oui.

Merci Georgie, dit Annie, et embrasse Candy de notre part. Dis-lui qu’elle nous manque aussi beaucoup et souhaite lui bonne chance. A Terry aussi.

Elle est avec Terry ? Demanda Archie.

Oui dit Georgie, dans des chambres séparées.

Elle avait compris l’allusion d’Archie. Elle comprit aussi la remarque de Terry l’autre soir au dîner. Laurent arriva en voiture en ce moment-la.

Georgie ? Appela-t-il.

J’arrive, dit-elle. Aurevoir je dois y aller.

Au revoir, dirent Annie et Patty.

Au revoir dirent Alistaire et Archibald.

Ils la regardèrent entrer dans la voiture et embrasser Laurent. Elle leur fit un signe de la main et la voiture s’éloigna.

Eh bien, c’est une bonne nouvelle, dit Archie.

Si Candy était de retour elle aurait été encore punie, fit Patty.

Elle est mieux là où elle est, dit Alistair.

Avec Terry ? dit Archie, j’en suis pas si sûr…

Allons Frérot, mieux vaut Terry que le donjon, non ?

Ouais, tu as raison.

Eliza arriva avec son groupe.

Que faites-vous à la grille ? Demanda-t-elle.

Mêles-toi de tes affaires Eliza, dit Alistair.

Et ils s’éloignèrent, laissant Eliza entrain de fulminer. Elle détestait ne pas savoir ce qui se passe

Maudit sois-tu Candy ! Marmonna-t-elle entre ses dents.

Pendant ce temps dans la voiture, Georgie et Laurent parlaient.

Alors dit Laurent, ça bien marché ?

Comme sur des roulettes ! Répondit Georgie. Tout le monde a cru que j’étais Candy jusqu'à ce qu’ils voient mon visage…

Les sœurs devaient être en colère.

Tu n’en n’as aucune idée ! Mais je suis contente d’avoir pu aider Candy. Ce sont ses amis avec qui je parlais à la grille. Elle leur manque beaucoup. Mais à la place de Candy, je ne serais pas restée non plus dans ce collège froid et glacial avec des religieuses aussi sévères, sans l’amour de la vie…

[Objet flottant]

Candy et Terry étaient de retour à l’auberge. Encore un peu secoués par les évènements de la journée, Terry l’avait accompagné dans sa chambre ; cette fois-ci il était entré pour assurer qu’elle allait bien. Toutes ses émotions, fuir la police, laisser Georgie qu’elle prenne sa place l’avait effrayé, mais l’avait en même temps excitée ! Terry l’avait pris dans ses bras pour la rassurer, elle était blottie contre son torse. Il resserra son étreinte en lui caressant le dos, et les cheveux. Candy leva la tête et leurs lèvres se rencontrèrent. Le baiser était plus passionné que d’habitude, peut-être à cause de l’excitation de la journée… Leurs lèvres étaient soudées, ils se retrouvèrent sur le lit de Candy toujours en s’embrassant. Toutes les émotions de la journée furent oubliées…Il n y avait que ce moment là qui comptait, ce baiser qui réveillait en elle d’étranges sensations, des sensations qu’elle n’osait pas explorer. Il fallait arrêter avant qu’il soit trop tard. Mais c’était trop bon, trop bon pour arrêter… Mais il le fallait…Elle n’avait pas la force… on frappa à la porte .

Candy, Candy tu es là ?

C’était la voix de Georgie. Ils s’arrêtèrent à regret, mirent un peu d’ordre dans leurs habits.

Oui, répondit-elle. Attends une minute Georgie !

Elle alla ouvrir la porte, pour trouver Georgie et Laurent.

J’espère que nous avons rien interrompu, dit Georgie en voyant Terry.

Oh non, dit Candy, en se jetant à son sou, merci, merci de tout cœur ! On ne t’a pas trop malmenée ?

Non non, je vais bien, dit Georgie.

J’aurai voulu voir la tête de tout le monde quand ils ont réalisé que tu n’étais pas Candy, dit Terry.

C’était drôle. J’ai du me retenir pour ne pas rire, dit Georgie.

Descendons pour parler, dit Candy.

Ils descendirent et Georgie continua.

Il y avait une fille qui a piqué une crise en voyant que je n’étais pas toi.

Laisse-moi deviner, une rousse avec des papillotes ? dit Candy.

Oui, Elle a faillit se jeter sur les policiers…

Eliza ! fit Terry.

Je ne sais pas pourquoi elle me déteste autant, dit Candy…

Elle est simplement sans cœur, dit Terry

Mais j’ai vu quelques visages soulagés, tes amies.

Comment les as-tu reconnu ? Demanda Candy.

Ils m’ont suivit à la grille et on a parlé après le départ des policiers. Tu leur manques beaucoup. Ils m’ont dit de t’embrasser et de te souhaiter bonne chance.

 

Ils n’ont rien demandé d’autre ? Demanda Terry.

Si vous étiez ensemble… dit Georgie.

Laisse moi deviner, dit Terry, Archibald ?

Georgie sourit.

Terry a raison, dit-elle à Candy, il est amoureux de toi.

Et moi j’aime Terry,dit Candy simplement.

Je t’aime aussi taches de son.

Le lendemain était la veille de leur départ. Candy avait presque oublié les billets de théâtre, « Roméo et Juliette » à Covent Garden.

Terry dit-elle, tu te souviens quand je suis aller acheter la robe pour le bal ?

Bien sur.

Et bien j’avais acheté deux tickets pour « Roméo et Juliette. » pour ce soir. Ton cadeau de départ.

Terry était stupéfait, mais ravi de la surprise.

Tu es merveilleuse Mlle Tarzan… Je suppose que tu as préparé une robe pour l’occasion…

Mais bien sur, je suis une lady, plaisanta-t-elle

Ils arrivèrent à l’opéra et rencontrèrent Laurent et Georgie.

On dirait qu’on ne fait que se croiser… dit Georgie.

L’univers est peut être en train de dire quelque chose, dit Candy en souriant.

Tiens, mon grand-frère et sa petite amie, fit une voix derrière eux.

Candy et Terry se retournèrent et virent Richard accompagné d’Elizabeth.

Bonsoir, dit Candy.

Bonsoir Melle André, et s’adressant à Terry, j’espère que tu n’as pas l’intention d’utiliser la loge familiale.

Ils seront dans ma loge, dit Laurent venant à leur secours

Et vous êtes… ? Demanda Junior.

C’est le petit-fils du Gouverneur, dit Elizabeth.

Ah fit Junior tout simplement. Ne t’en fais pas Terrence, je vais protéger ta promise…

Ne commence pas Junior… dit Terry.

Quoi ? Je ne voudrais pas que tu crois que je l’ai comprise. Fais comme père, amuse-toi avec ta traînée américaine, mais n’oublies pas ton devoir.

Espèce de… dit Terry en se précipitant sur Richard Jr.

Laurent et Candy durent retenir Terry de toutes leurs forces pour qu’il ne se jette pas sur son frère pour lui casser la gueule.

Wo wo Frérot où sont tes manières ? Avec tout l’argent que père a dépensé au collège pour toi…

Allons Richard entrons c’est notre tour, dit Elizabeth en l’amenant.

Candy essaya de calmer Terry.

Terry, calme-toi, dit Candy doucement, il n’en vaut pas la peine ! On peut partir si tu veux..

Et lui donner la satisfaction d’avoir gâcher notre soirée ? Pas question !

Alors, tu te calme et on va passer une excellente soirée Roméo…

D’accord Juliette, dit-il en la regardant avec amour.

Bon comme c’est régler allons- y dit Laurent dit Terry.

Merci de nous avoir sauvé, Laurent, dit Terry

Tout le plaisir était pour moi. Ton frère est un petit morveux…

Laurent ! S’exclama Georgie.

Ils éclatèrent tous de rire et entrèrent au théâtre. La loge familiale de la famille de Laurent était spacieuse. Les 2 couples s’installèrent, Candy et Terry à l’arrière Georgie et Laurent en avant.

Vous êtes prêts pour le voyage demain ? demanda Georgie.

Oui dit Candy, mais je me demande si la police ne sera pas là entrain de m’attendre…

Déguise-toi dit Georgie, en garçon…

Comme toi…fit Laurent puis expliquant à l’autre couple, elle s’est déguisée en garçon pour participer à un concours de boomerang interdit aux filles.

Interdit aux filles ! fit Georgie, ah les hommes, ils nous prennent pour d’êtres inférieurs… Les filles ne peuvent pas lancer un boomerang ? J’ai gagné le concours…

Le gagnant devait être embrassé par ma fiancée du moment…

Mais comme on a découvert en enlevant ma casquette que j’étais une fille…

C’est moi qui l’ai embrassé… termina Laurent.

Je m’attendais à une bise sur la joue…

Mais je l’ai embrassé sur les lèvres, à la grande colère de ses deux frères…

Le baiser dura une éternité, là devant tout le monde,

Devant Abel et Arthur tu veux dire… Abel a faillit me casser la gueule, je croyais que c’était son petit copain. Quelle était ma surprise d’apprendre que c’était son frère !

Laurent est tombé follement amoureux de moi…dit Georgie ignorant la remarque de Laurent

Comme c’est romantique ! Dit Candy.

Les 3 coups de théâtre se firent entendre pour montrer que la pièce devait commencer. Toute la salle se fit silencieuse. La pièce commença, Candy regarda Terry qui semblait être en transe. Il regardait la pièce attentivement et récitait le rôle de Roméo en chuchotant, sans aucune faute !

Pendant l’entracte, Georgie lui en fit la remarque

Wow Terry, tu es un bien meilleur Roméo que l’acteur sur scène, tu connais toutes ces paroles par cœur..

Tu seras un bon acteur Laurent.

Le meilleur dit Candy et je ne dis pas ça parce que je suis sa fiancée

Seul l’avenir nous le dira, dit Terry

Et en plus il est modeste ! dit Georgie.

A la fin de la représentation, Candy avait les larmes aux yeux, tellement la performance de Terry était puissante. Terry la serra dans ses bras.

Tu seras un grand acteur Terry, je n’ai aucune doute là dessus.

Merci taches de sons, dit Terry, merci pour ta surprise

Ce fut un plaisir

Il l’embrassa sur les lèvres. « Taches de sons » ce surnom l’ennuyait au début était devenu un signe d’affection de la part de Terry, pour Candy.

Elle l’aimait, il pouvait l’appeler comme il voulait !

Hum hum, fit Georgie

Candy et Terry arrêtèrent de s’embrasser.

Je suis désolée dit Georgie, il faut y aller…

Candy et Terry souriaient et Laurent secouait la tête.

Georgie, on n’est pas pressé, dit Laurent

Ça va dit Terry, on y va.

 

Demain très tôt nous quittons Londres, dit Candy pendant qu’ils sortaient pour aller à la réception organisé après la pièce, Georgie tu seras sur le bateau ?

Oui et Laurent aussi il a trouvé une place à la dernière minute…

C’est super, dit Candy. Demain je retourne enfin en Amérique !

Une fois de retour à l’auberge Terry l’embrassa et lui souffla à l’oreille.

Notre dernière nuit en tant que célibataires…

Et notre dernière nuit à Londres. Tu peux me prêter quelques vêtements, je ne veux pas prendre de risque demain matin.

D’accord, je reviens tout de suite.

Il alla dans sa chambre chercher les vêtements et elle entra dans sa chambre pour se changer. Quelques instant plus tard, Terry frappa a la porte, Candy était en train de défaire sa robe, du moins elle essayait. Elle alla ouvrit la porte à Terry qui se tenait là avec les habits en main.

Tu as besoin d’aide ? demanda-t-il.

S’il te plait, avec ma robe.

Elle savait que ce serait un moment très délicat si Terry l’aidait à enlever sa robe… Ses mains sur son dos la faisaient frissonner de plaisir. Terry du sentir son frisson car l’embrassa très doucement au cou, après avoir bougé les cheveux blonds et bouclées, c’était presque une caresse… Candy resta d’abord immobile et ferma les yeux savourant chaque seconde de ce moment intense. Ensuite n’en pouvant plus, elle se retourna et leurs lèvres s’unirent dans un baiser doux et passionné… À chaque fois que Terry l’embrassait, tout son être s’embrasait et elle ne pouvait pas le contrôler. Demain se dit-elle, demain… Ils eurent la même pensées au même moment et ils s’arrêtèrent, brisant ainsi le courant qui devenait de plus en plus fort entre eux.

Je vais te laisser te coucher, dit Terry, il faut que nous soyons au port à l’aube, même plus tôt pour ne pas rater le bateau.

Ok à tout à l’heure…

A tout à l’heure.

Et il sortit de la chambre, la laissant la frustrée par le feu qui s’était réveillé en elle et qui n’a pas atteint son apogée…

Demain, demain tout sera en règle…

 

Et sur cette pensée positive, elle finit de s’apprêter et se mit au lit.

« Je me marie demain matin »… Chanta-t-elle dans sa tête.

Fin chapitre 5

© Mamiem Mai 2004