Confessions Intimes
par Leia

NOTE DE LA WEBMISTRESS

La fiction suivante présente un contenu qui, par sa nature, s'adresse à un public, disons, "ADULTE"... Afin d'éviter toute réaction négative envers cette fiction, veuillez donc prendre en considération cet avertissement... 

L'orage habituel de ces fins de journées d'été en Ecosse venait d'éclater. Terry et Candy coururent se réfugier dans la villa du jeune homme. La pluie n'était pas froide sinon tiède mais les gouttes qui tombaient étaient si grosses et si lourdes qu'ils furent trempés avant d'arriver.

  • Je suis gelée ! - fit Candy en entrant dans le sombre salon.

Terry s'empressa d'allumer un feu dans la cheminée.

  • Je vais mettre quelque chose de sec. Tu devrais toi aussi ôter ces vêtements mouillés - ajouta-t-il avec un sourire espiègle.

Candy lui jeta un regard étonné.

  • Ma mère a laissé ce peignoir pour toi. Il devrait t'aller. Vous avez presque la même taille - poursuivit-il imperturbable.

Bouche bée, Candy ne pouvait émettre un mot, mais l'œil de reproche qu'elle lui lança semblait suffisamment explicite.

  • Ne t'inquiète pas ! - dit-il en riant - Je te laisse tranquille ! De toute façon, les trous de serrure sont assez grands pour certains yeux curieux ! - lança-t-il en fermant la porte, son rire moqueur résonnant dans toute la maison.

"Quel voyou ! " pensa Candy en le regardant s'éloigner. "Il ne changera jamais !"

Elle s'approcha de l'âtre en quête d'un peu de chaleur et ôta rapidement ses vêtements humides. Elle secoua ses jambes devant le feu afin de réchauffer son corps délicat refroidi par la différence de température. Puis elle revêtit le peignoir rose pâle de la mère de Terry. Il avait conservé le parfum de d'une personne raffinée, une fragrance française certainement, peut-être parisienne ou du sud de ce pays, Grasse, cité des parfums, la Riviera, Monaco...., lieux évocateurs que Candy rêvait de visiter.

  • Candy ? - fit une voix sur un ton étonnamment affectueux.

Elle se retourna et aperçut Terry, merveilleusement séduisant dans sa chemise couleur marine qui renforçait le bleu profond de ses yeux et le léger hâle de sa peau.

  • Tu... Tu es si belle là-dedans ! - s'exclama-t-il ébloui par l'apparence de Candy, sans se rendre compte que les deux verres qu'il tenait dans ses mains étaient en train de se déverser sur son pantalon sombre.

  • Oh Flûte ! - s'écria-t-il en réalisant sa maladresse. Il regarda autour de lui et posa les verres sur la table basse devant le canapé qui faisait face à la cheminée ancestrale.

  • Tu veux un verre ? - proposa-t-il, embarrassé d'avoir dévoilé une partie de ses émotions.

  • Qu'est-ce que c'est ? - demanda Candy en grimaçant devant la boisson de couleur jaune qu'il lui tendait.

  •  

  • C'est de l'hydromel, la boisson des dieux celtiques! - répondit Terry - C'est du miel fermenté qui donne de l'alcool. Je l'ai réchauffé et y ai ajouté un peu de rhum. Cela va te réchauffer.

Candy but une gorgée et sourit.

  • Tu as raison. C'est bon ! - fit-elle en continuant à boire - Je me sens mieux maintenant.

Il s'installèrent dans le sofa et se mirent à regarder silencieusement les flammes danser dans la cheminée.

  • Pourquoi a-t-elle laissé ce peignoir pour moi ? - finit par demander Candy.

  • Bien, je crois qu'elle a pensé que c'était le moins que tu méritais - répondit-il doucement - Nous nous sommes réconciliés grâce à toi et tes paroles qui m'ont libéré de cette stupide colère que j'avais envers elle. Ce vêtement a beaucoup de valeur à mes yeux car elle le portait avant de partir - ajouta-t-il en fixant le feu.

  • Que vous êtes-vous dit ? - demanda Candy, émue.

  • Rien - répondit Terry, pensif - Nous ne nous sommes rien dit. J'étais... - se rappelait-il - J'étais debout, appuyé contre le bord de la cheminée, et elle était là, assise à ta place. On n'osait même pas se regarder.... Parfois... - murmura-t-il en se tournant vers Candy - quand on s'aime, le silence est plus éloquent que les mots....

Rougissante, Candy se leva et alla à la fenêtre. Le ciel s'était encore assombri et le vent venait s'écraser avec force contre les hauts et solides murs de la maison.

  • J'aurais tellement voulu... - dit Candy tristement en baissant les yeux - ...avoir une mère... comme tout le monde.

  • Tu n'es pas seule Candy - fit Terry en s'approchant d'elle - Tu ne l'es plus... Je suis près de toi... Je le serai toujours...

Il posa ses mains sur ses épaules et l'obligea à le regarder.

  • Peux-tu encore ignorer l'intérêt que je te porte ? - demanda-t-il en lui relevant menton.

  • Terry... - murmura-t-elle alors qu'il se rapprochait encore, son souffle venant la caresser comme une douce et légère brise. Elle recula et buta contre le rebord de la fenêtre.

  • Aurais-tu peur de moi ? - fit-il avec air malicieux tout en baissant sa tête vers elle.

  • Bien sûr que non! - répondit-elle en secouant la tête, incapable pourtant de contrôler les battements de son cœur qu'elle sentait sur le point d'exploser quand elle vit les lèvres de Terry si proches des siennes.

  • Alors pourquoi trembles-tu comme un de ces horribles lévriers ? - lança-t-il moqueur.

  • Je ne suis pas un....! - essaya-t-elle de riposter alors qu'il saisissait ses lèvres, laissant les paroles de Candy s'étouffer sous son tendre mais déterminé baiser.

Candy tenta faiblement de le repousser mais dut rapidement s'avouer vaincue. Elle avait l'impression d'avoir toujours attendu ce moment, le contact des lèvres de Terry sur les siennes révélant à ses sens certaines sensations qu'elle n'aurait jamais imaginées auparavant. Sans s'interroger sur les probables effets de l'hydromel, elle se surprit à mettre ses bras autour du cou de Terry, le rapprochant d'elle, répondant à ses baisers avec une ardeur qui la fit encore un peu plus rougir, ses mains s'emmêlant avec ferveur dans ses longs cheveux bruns.

  • Candy ! - gémit-il contre son cou tout en caressant son corps voluptueux, ses mains effleurant sa poitrine, tandis qu'il cherchait délicatement un passage entre ses cuisses.

  • TERRY! - cria Candy alors qu'il dénouait la ceinture de son peignoir, lui révélant ainsi les formes parfaites de sa nudité - Je ne crois pas être encore prête pour cela... - dit-elle embarrassée.

Terry s'écarta, son regard trouble se remettant difficilement de la passion qu'elle venait d'éveiller en lui.

  • Pardonne-moi - fit-il en baissant les yeux, l'air honteux - Je me suis laissé emporter. Je ne pouvais plus me contrôler. L'alcool doit en être la cause... Mais tu es une telle tentation! - ajouta-t-il, ayant déjà récupéré toute sa verve sarcastique.

  • Je ferais mieux de rentrer au collège! - dit Candy en allant chercher ses vêtements.

  • Si j'étais toi, je resterais ici ! L'orage ne montre aucun signe d'apaisement - fit Terry en montrant la fenêtre qui annonçait la venue d'une forte tempête.

  • Oh non ! - gémit Candy, consciente du danger de rester plus longtemps à ses côtés.

  • Je vais demander à la bonne de préparer ta chambre - dit-il en quittant la pièce.

  • Puis, se retournant, il ajouta en riant - Je t'en prie Candy, ne fais pas cette tête! Je me tiendrais tranquille ! Promis ! - jura-t-il une main posée contre son cœur - Ne suis-je pas un gentleman ?

Ses yeux brillèrent de malice alors qu'il fermait la porte derrière lui.

Candy ne parvenait pas à trouver le sommeil. Terry occupait la moindre de ses pensées, le goût de ses lèvres, la douceur de ses mains, revenant à son esprit comme s'il l'avait ensorcelée. Elle rougit en pensant à ce qu'elle avait fait mais surtout à ce qu'elle aurait pu faire si elle n'avait pas finalement retrouvé sa raison. Son attirance envers Terry était si puissante qu'elle se demandait encore comment elle avait pu trouver la force de lui résister.

Elle se sentit soulagée quand elle aperçut les premiers rayons de l'aube montant de derrière les collines qui entouraient le lac. Elle décida d'aller récupérer ses vêtements qui étaient encore suspendus sur le rebord de la cheminée du salon, puis de partir avant que Sœur Margaret ne remarque son absence. Elle espérait que Patty et Annie aient pu trouver un moyen pour ne pas la trahir involontairement. Elle descendit silencieusement l'escalier, essayant de ne réveiller personne, et entra dans la pièce. Un petit feu brûlait encore dans l'âtre, éclairant faiblement cette partie du salon, lui apportant ainsi une atmosphère intime, fascinante, au point d'avoir manqué devenir un piège quelques heures plus tôt. Heureusement, Terry était en haut, dans sa chambre, et dormait avec les anges !

Elle laissa tomber son peignoir à ses pieds et prit ses vêtements secs, encore tièdes de la chaleur du feu. Elle sursauta en entendant du bruit provenant du canapé. Elle se retourna et aperçut dans la semi-obscurité une forme noire remuer.

  • Je t'en prie Candy, continue ! - fit une voix familière - Fais comme si je n'étais pas là...

  • Terry! - s'exclama Candy, essayant de cacher sa nudité derrière ses vêtements - Tu m'espionnais !

  • Pas du tout ma chère ! - répondit-il en se levant - Je ne pouvais pas dormir alors je suis descendu ici pour attendre le lever du soleil. Et il est arrivé ! - fit-il en admirant les délicieuses courbes de Candy.

  • Tu aurais du m'avertir que tu me regardais ! - lui reprocha-t-elle avec colère, brandissant sa robe comme ultime protection.

  • Je me demande pourquoi tu es debout de si bonne heure ? Tu ne pouvais pas dormir toi non plus ? - demanda-t-il en se rapprochant.

  • Je dois être de retour au collège avant qu'on ne remarque mon absence ! Il est peut-être déjà trop tard ! - répondit-elle incapable de retenir le rouge qui lui montait aux joues.

  • Alors pourquoi tant de hâte ? - murmura-t-il en respirant doucement le parfum de fleurs des champs de ses cheveux.

  • Je..., je.... - bredouilla Candy, hypnotisée par le regard pénétrant de Terry.

  • Je ne pouvais pas dormir à cause de toi Candy - fit-il soudain en s'emparant d'une de ses boucles blondes et l'enroulant autour de son doigt.

  • S'il te plait Terry ! - l'implora-t-elle en essayant d'échapper de ses bras qu'il avait placés au-dessus d'elle pour mieux la retenir - Cesse de jouer avec moi !

  • Pourquoi dis-tu cela ? - demanda-t-il contrarié - Je ne joue pas du tout avec toi!

  • Je ne sais jamais à quoi m'en tenir avec toi Terry ! - fit Candy, profitant de l'étonnement du jeune homme pour revêtir sa robe - Par moments, tu peux être charmant, puis devenir un véritable mufle dans la seconde qui suit ! Comment veux-tu que je te fasse confiance ?  

  • Tu me reproches la façon dont je me suis comporté avec toi hier soir ? - demanda-t-il sur un ton sérieux - Je t'ai embrassée... - poursuivit-il un peu plus bas - je t'ai embrassée parce que les sentiments que j'éprouve à ton égard sont profonds et sincères... Je.... Je t'aime Candy .... - avoua-t-il, plongeant son regard bleu dans le sien.

  • Terry... - fit Candy, les larmes aux yeux.

  • Je t'aime ! - répéta-t-il, la regardant plus tendrement qu'il ne l'avait jamais fait auparavant. Il semblait si vulnérable à ce moment là - Je t'ai aimée depuis cette nuit sur ce bateau... A la seconde où nous nous sommes rencontrés, j'ai su... J'ai su que j'étais tombé follement amoureux de toi... Pour le restant de ma vie....

Candy se sentit sur le point de défaillir en le voyant s'approcher d'elle de nouveau. Elle était tellement troublée par l'aveu de Terry, qu'elle restait là, immobile, incapable du moindre geste, assourdie par le battement effréné de son cœur cognant à ses oreilles.

  • Je suis certain que tu ressens la même chose que moi - dit-il en posant sa main sur sa joue - Je peux le voir dans tes yeux.

  • Terry... - soupira Candy, libérant ses larmes et appuyant sa tête contre la paume de la main du jeune homme - Je... Je t'aime moi aussi...

Elle se sentit curieusement mieux après lui avoir révélé ses sentiments. Cela était vrai. Elle l'aimait avec une telle force qu'elle pouvait facilement devenir déraisonnable. Elle avait combattu cet amour, l'avait tu au fond de son cœur, mais il était finalement parvenu à atteindre son âme, cet aristocrate associable et rebelle dont les yeux étaient capables de damner un saint !

Mais le jeune homme qui l'enlaçait à présent n'était pas le mystérieux et distant Terrence Grandchester du Collège Saint Paul. Ce n'était que Terry qui avait renoncé à son arrogance, lui dévoilant ainsi son véritable visage, celui d'un jeune garçon éperdument amoureux d'elle.

Timidement, comme si cela était la première fois pour lui, il l'embrassa, goûtant la douceur de ses lèvres, les saisissant puis les libérant comme pour mieux les retrouver. Les bras de Candy en s'ouvrant ne pouvaient que se refermer sur lui, découvrant des gestes nouveaux et exaltants. Sans pouvoir encore vraiment y répondre, elle s'abandonnait sous la quête de sa bouche conquérante sur ses lèvres, son cou, ses épaules...

  • Tu l'as revêtue pour rien - fit-il dans un sourire, dénouant lentement la robe de Candy - Tu es si belle ! - s'exclama-t-il émerveillé, s'écartant pour mieux admirer les formes parfaitement arrondies de son corps.

Candy baissa les yeux, gênée. Elle avait froid. C'était la première fois qu'elle se tenait nue devant un homme. Le bruit de vêtements tombant au sol lui firent lever la tête.

  • Nous sommes deux maintenant - fit Terry, ayant remarqué l'embarras de Candy.

Nue contre sa peau nue, elle commença à percevoir ses caresses.

  • Ne crains rien - chuchota-t-il à son oreille - je veux seulement te réchauffer.

Terry semblait la découvrir comme un homme qui découvre le corps d'une femme dont il avait depuis longtemps rêvé. Il connaissait la "technique" par les expériences qu'il avait eues avec certaines bonnes "compréhensives" de son père, mais il se sentait si différent dans les bras de Candy. L'amour semblait lui avoir ôté toute assurance. Elle était si impressionnante, mais si attirante à la fois, que ses lèvres se collèrent sur les siennes dans des baisers de plus en plus ardents.

Lentement, il la coucha sur le sol, leurs vêtements éparpillés les accueillant en un tapis improvisé. La respiration de Candy devint plus rapide, tremblante, ses yeux plus grands quand Terry se glissa avec précaution entre ses cuisses. Elle ne percevait que sa silhouette en contre-jour dont la lumière accentuait les fins contours de son corps. Elle avait l'impression que le fantôme d e la maison venait la visiter. Tendrement troublé, il l'enveloppa de ses bras, l'attira à lui, et posa ses lèvres sur ses joues. Elle pouvait sentir le parfum de son souffle, ses longues mèches tombantes s'emmêlant sur leurs lèvres, et percevoir qu'il souriait sous ses baisers. Elle lui répondit à son tour par un sourire.

  • Je t'aime ! Je t'aime ! - répéta-t-elle dans un rire ému, ses paroles s'évanouissant sous les lèvres de Terry.

Puis elle l'entoura de ses bras et l'attira à elle, cherchant par la férocité soudaine de ses baisers à capturer son âme. Elle savait que ce qu'elle faisait n'était plus raisonnable, mais l'amour, la passion qui l'envahissaient ne pouvaient plus être maîtrisés. Nichée au creux des bras de Terry, elle ne voulait plus partir tant que le feu dévorant qui la consumait ne serait pas apaisé.

La douleur inattendue qu'elle ressentit quand il entra délicatement en elle disparut rapidement sous la force du plaisir grandissant qui prenait possession de son corps inexpérimenté, chacune de ses expirations mourant dans une plainte de jouissance. Elle était étonnée de cette étrange sensation qui avait pris le contrôle de son esprit et de sa chair, la rendant chaque fois plus demandeuse des caresses de Terry alors que les doux mouvements de son corps la poussaient vers les limites d'un extase qu'elle ne soupçonnait pas.

Une bûche du feu mourant se rompit en morceaux, ravivant ainsi ses incandescentes extrémités. Terry se redressa, surpris par la lumière abrupte qui les surprenait. Il se tenait au-dessus d'elle, la regardant avec attention et une certaine curiosité. Elle pouvait distinguer l'éclat de ses yeux qui l'observaient alors qu'elle s'abandonnait au plaisir.

  • Je t'en prie, ne t'arrête pas ! - semblait-elle réclamer.

Elle eut un élan vers lui et son retour impatient lui procura tant de soulagement qu'elle l'enserra plus fortement comme pour mieux l'emprisonner de ses bras. Il sentit ses doigts délicats glisser le longs de ses flancs et de son dos, et il fut ravi de son empressement. Pour toute réponse, il effleura sa gorge archée de désir, puis s'attarda longuement en caresses et baisers sur sa poitrine, l'emportant vers les puissantes et profondes vagues de l'amour, chaque mouvement les amenant vers le sommet de leur joie réciproque. Ils venaient de briser leurs dernières barrières, découvrant par leur emportement à atteindre leur bonheur mutuel, que l'amour ne se formalisait pas de leur âge, leurs cœurs d'adolescents les ayant transformés en amants furieux et enflammés. Leurs regards troublés se mélangèrent, le bleu se changeant en vert et le vert devenant bleu, voguant tous deux sur la mer tourmentée du plaisir, jusqu'à ce qu'un flot violent et irrésistible vint les jeter contres les plages de la réalité, écrasés sous les spasmes d'une ultime délivrance délicieuse et délirante.

Terry s'allongea contre Candy, épuisé, ses longs cheveux bruns couvrant un de ses seins. Candy leva une main et caressa doucement ses cheveux. Il leva les yeux et lui sourit tendrement.

  • Je t'aime - murmura-t-il en traçant de ses doigts la courbe de ses lèvres - Je t'aimerai toujours... - Ne l'oublie jamais.

Candy ferma les yeux, et soupira, l'air absente, une expression rêveuse apparaissant sur son visage. Dans les bras de Terry, elle pouvait tout oublier, même la colère de Sœur Margaret quand elle rentrerait en retard. En réalité, elle s'en moquait, encore plus quand Terry la fit se retourner vers lui. Lèvres contre lèvres, ils recommencèrent à s'embrasser ardemment, tandis que le soleil se levait, recouvrant de ses rayons bienveillants leur étreinte passionnée....

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© Leia 1999